En parlant avec une de nos productrice péruvienne, cette dernière m'a demandé si Ayud'Art serait intéréssé par des pelotes de laine d'alpaga qui pourraient être tricotées en France.
Je pense effectivement que cela serait un produit qui pourrait vivement intéressé. Ne faudrait-il pas faire un essai? en importer quelques échantillons pour tester sur les prochaines ventes? Je suppose que tu iras voir sur place cet été. Evidemment un calcul coût-avantage s'impose à nous avant tout. Farida Commission Alsace
Pourquoi ne pas en parler à la gentille dame qui tient la boutique deux aiguilles dans la cafetière rue gustave Simon, Je veux bien m'en occuper, je suis cliente
Un marché, il y en a certainement et un risque finalement limité car on peut écouler tout stock sur une période assez longue. La question est plutôt sur l'aspect "développement durable" : l'association a-t-elle intérêt à retirer à ces producteurs leur valeur ajoutée liée à la production. Quelque part la vente de pelotes cannibaliserait la vente d'artisanat et la marge (partagée) qu'on se fait sur l'artisanat est significative du fait du coût de main d'oeuvre significativement plus bas que chez nous. Vendre des pelotes n'est peut-être donc pas profitable ni aux péruviens ni à Ayud'Art.
4 commentaires:
Je pense effectivement que cela serait un produit qui pourrait vivement intéressé. Ne faudrait-il pas faire un essai? en importer quelques échantillons pour tester sur les prochaines ventes?
Je suppose que tu iras voir sur place cet été.
Evidemment un calcul coût-avantage s'impose à nous avant tout.
Farida Commission Alsace
mes aiguilles tricotent déjà...
Pourquoi ne pas en parler à la gentille dame qui tient la boutique deux aiguilles dans la cafetière rue gustave Simon,
Je veux bien m'en occuper, je suis cliente
Un marché, il y en a certainement et un risque finalement limité car on peut écouler tout stock sur une période assez longue.
La question est plutôt sur l'aspect "développement durable" : l'association a-t-elle intérêt à retirer à ces producteurs leur valeur ajoutée liée à la production. Quelque part la vente de pelotes cannibaliserait la vente d'artisanat et la marge (partagée) qu'on se fait sur l'artisanat est significative du fait du coût de main d'oeuvre significativement plus bas que chez nous. Vendre des pelotes n'est peut-être donc pas profitable ni aux péruviens ni à Ayud'Art.
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